Aliments santé pour les enfants : lesquels, pourquoi et comment leur faire aimer ?

Bonjour,

Apprendre à ses enfants à aimer fruits et légumes et autres aliments sains cela commence aussi pendant la grossesse par des parents ayant déjà le goût à se nourrir le plus sainement possible et n’ayant que peu ou pas de difficulté en rapport avec l’alimentation.

Mais si vous ne vous reconnaissez pas déjà là, pas de panique. C’est votre intention d’aujourd’hui qui compte.

Alors oui on peut faire apprécier une alimentation santé par nos chères têtes blondes !

 

Voyons comment ?

Il est évident que si vous décrétez cela à votre ado qui n’adore depuis son plus jeune âge que les 3 P (PAIN-PIZZA-POMMES DE TERRE FRITES) et autres douceurs industrielles riches en sucre, gras Trans et ultra transformées…. Vous allez avoir des difficultés…..

 

Peut-être sera-t-il sensible au fait qu’en supprimant tel ou tel aliment….. il ou elle pourrait  avoir moins d’acné !? qu’il ou elle serait plus séduisant (e) …. !? Ou pour elle surtout, qu’elle perdrait ce surpoids qui la déprime…! ? Alors vous aurez peut-être…, je dis bien peut-être…., car rien n’est jamais gagné : une oreille attentive !

On a compris que le plus tôt on commence, mieux c’est !

 

En tant que parents nous savons bien combien il est difficile parfois de leur faire avaler autre chose que ce qu’ils aiment. 

Bon il est certain que s’ils savaient qu’il n’y a rien d’autres à manger que ce qu’ils ont dans leur assiette et qu’ils ont la chance de l’avoir, il n’y aurait aucun problème ! Il est évident qu’on ne leur souhaite pas et qu’il devrait en être ainsi pour tous les enfants… mais c’est un autre débat !

 

Pour faciliter la vie des mamans, les industriels qui l’ont bien compris, proposent « le tout fait ou presque » !

Cela commence dès le berceau et qu’on le comprenne ou non, ceci formate le cerveau à certaines saveurs et  textures. C’est la fameuse Madeleine de Proust !

Parmi « ce tout fait ou presque » certains sont vraiment de qualité, bio ou organique, mais cela a un coût !  Pour les autres, malheureusement ils contiennent un ensemble de molécules que l’on sait perturbatrices du système endocrinien, cancérigènes, et à l’origine de nombreux troubles de santé.

A cela s’ajoute les produits que l’on utilise pour la toilette, pour la maison, et autres lieux publics, l’air vicié des villes, l’eau dite propre mais polluée par tout ce qui n’est pas encore extrait des circuits d’eau comme des molécules médicamenteuses, hormonales et autres molécules dangereuses à long terme.

 

Ainsi nous nous disons, qu’en mettant dans son assiette une nourriture plus saine et moins artificielle, nous allons aider notre enfant à mieux grandir et l’aider à créer un capital santé. D’ailleurs nous avons peut-être déjà l’impression de bien nourrir notre enfant, pourtant les constats sont là, pas assez de légumes et de fruits !

Une étude de 2009 auprès de 2000 mamans américaines, appelée étude GENESIS,  GENESIS study  – https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/19958913 avait observé la qualité nutritionnelle des aliments d’enfants préscolaires ainsi que les ressentis et les croyances des mères. Les chercheurs trouvèrent que 83 % des mères surestimaient la qualité de l’alimentation donnée à leur enfant.

 

Si au sein familial, il y a une grande consommation de viande et de produits laitiers, si les aliments et les préparations industrielles et les boissons sucrés sont part de la diète de manière régulière, la place quotidienne aux fruits et légumes en berne, une santé optimale est difficile.

 

La plupart des enfants de nos pays industriels consomment près de 90 % de leurs calories via les produits animaux et leurs dérivés et les aliments transformés.

La plupart consomme moins de 10 % de leurs calories à partir de légumes et de fruits non transformés industriellement alors qu’il y a un consensus actuel pour leur consommation journalière.

 

Ceci est important parce que les maladies chroniques commencent dans l’enfance même si on en voit  les effets que plus tard. On constate de plus en plus des maladies chroniques associées à l’âge chez nos jeunes gens.

A peine fini le primaire ou le collège qu’ils mettent déjà en place les fondations pour des maladies cardiovasculaires, le diabète, le surpoids et l’obésité et je ne parle pas des cancers, ni des maladies dites auto immunes.

Ceci n’est pas normal ! Et cela peut être évité.

 

Voici des astuces pour que vos enfants mangent et prennent plaisir à une alimentation santé :

-         Soyons déjà un modèle  

Le plus important est que vous soyez clair par rapport à cela. Faire des choix nutritionnels sains et bien compris est essentiel. En tant que couple nous devons partager les valeurs que nous souhaitons donner comme modèles à nos enfants. Nous devons être d’accord, nous devons être partenaires. Nos enfants ont des antennes invisibles qui captent toutes les discordances et les choix alimentaires en font partie.

Ne nous attendons pas à ce que nos enfants apprécient les légumes si l’un de nous ne les aime pas.

Un des plus puissants prédicateurs des futurs choix alimentaires de nos enfants passe par nous,  parents.

Les enfants agissent par mimétisme, pas par nos mots. Rien ne sert de leur expliquer par X plus Y que c’est bon pour eux les carottes râpées si nous n’en mangeons pas ou si nous les avalons en faisant la grimace !

 

-         Prendre nos repas en famille

Ceci encourage des saines habitudes alimentaires. Beaucoup de familles prennent plaisir à diner ensemble au moins 4 ou 5 fois par semaine et même à impliquer chacun à la préparation du repas, à préparer la table et au nettoyage.

Différentes études montrent que les repas familiaux tendent à augmenter la consommation de fruits et légumes et à faire baisser celle d’aliments fris et de boissons sucrés.

 

Autres bénéfices montrés :

-  Dîner ensemble  permet de développer des comportements sociaux et des attitudes positives.

-  Cela contribue à créer chez les enfants un sentiment de sécurité et d’appartenance à un clan.

- Les  interactions familiales stimulent des émotions positives ce qui agit sur la santé et la longévité.

C’est donc le moment d’éviter les remontrances, de faire des commentaires ou des critiques sur les caprices alimentaires de l’enfant,  on oublie les disputes, les règlements de compte, on éteint la télévision, ne sont pas autorisés à table les téléphones et autres cyber technologies.

Les repas doivent demeurer un moment agréable. On y tient des conversations plaisantes et on raconte des histoires amusantes. C’est peut-être apprendre ou réapprendre à communiquer, à échanger sur les thèmes qui intéressent les différents membres de la famille, chacun son tour !

Les enfants et les parents se sentent connectés même si chaque repas pris ensemble n’emporte pas à chaque fois un prix d’excellence, mais si en tant que parents on s’efforce de veiller à un certain équilibre en prenant sur soi les petites blessures de l’égo, on construit des bases solides.

 

-         Pas de malbouffe à la maison !

On est bombardé à longueur de journée par les publicités soit à la télé, dans les magazines, sur internet,  à goûter, à consommer de la malbouffe même si en petites lettres il est dit qu’il faut manger des fruits et des légumes et qu’il faut bouger !

Aux États-Unis, dans les écoles, les fabricants offrent aux enfants des bonbons et des barres sucrées ! En France, je ne sais pas ! Je sais que certains établissements tant dans le privé que le public (en France et autres pays industriels) choisissent de plus en plus des repas plus équilibrés, plus riches en fruits et légumes, plus gustatifs aussi.

Les camarades eux-mêmes de vos enfants ont parfois leurs poches pleines de sucreries diverses ou autres douceurs. Comment lutter contre les offrandes de leurs meilleurs amis que ce soit dans la cours de récré ou ailleurs ? On ne dit pas non aux copains !

 La volonté n’est pas suffisante pour lutter face à toutes les sollicitations, d’autant plus qu’ils apprennent seulement ce qu’est une alimentation saine.

Finalement pour eux, cela veut dire quoi « sain », « bon pour la santé » ? Pour eux si la malbouffe se vend c’est que c’est bon, non ? D’ailleurs c’est bon en bouche. C’est délicieux ! Les adultes (les modèles !) en vendent ou en donnent, oui ou non ? On ne les empoisonnerait tout de même pas ! Il y a des agences de santé ? Des contrôles ?

 

Il importe qu’à la maison, il n’y ait pas de tentation. Nettoyez vos placards, remplacez la malbouffe par des options plus saines. Ayez ou préparez des encas : fruits de saison, oléagineux, vos pâtisseries ou entremets maison. Oubliez les chips, les sodas, les barres,   les cookies de mauvaise qualité et autres goodies sucrés ou salés.

Ce ne sera déjà pas à la maison qu’ils en mangeront !

 

-         Posez des règles valables autant pour les parents que les enfants  

Par exemple, pas plus d’un verre de jus de fruits par jour. Toutes les autres boissons sucrées contenant des additifs, des parfums, etc., sont interdites à la maison.

Quand les enfants sont petits, les règles sont posées par les parents, quand les enfants grandissent certaines peuvent se prendre ensemble.

Apprendre à avoir des habitudes de vie saines, c’est aussi apprendre à développer le self contrôle et des frontières autant sur le plan alimentaire que d’autres aspects de la vie.

 

-         Ne préparez pas le repas des enfants d’un côté et celui des adultes, de l’autre ! 

Pour les bébés  c’est différent bien sûr. Pour les plus petits on adapte aussi.

Exemple, confectionnez un repas de cuisine exotique pour les parents et des frites et nuggets de poisson pour les enfants. Ce n’est pas une bonne idée, cela ne leur apprendra pas à avoir de saines habitudes alimentaires, en plus vous faites passer d’autres messages.

Les plats sont les mêmes pour tous et comme précisez tout à l’heure on adapte selon l’âge.

 

Une de mes filles n’aimait pas ce qui était vinaigré, sa salade ne contenait pas de vinaigre. Elle détestait les préparations à base de pamplemousse, sa préparation ne contenait pas de pamplemousse. Une autre n’aimait pas le gingembre, on en tenait compte. Aujourd’hui, l’une mange ses salades avec du vinaigre et n’aime toujours pas les pamplemousses et l’autre adore le gingembre !

 

-         Osez innover les menus, les recettes

Ce n’est pas les livres d’une cuisine santé qui manquent. Vos enfants et vos jeunes apprécient les nouveautés.

N’enfermons pas nos enfants, ni nous-même d’ailleurs dans des menus routiniers. La cuisine d’autres traditions offre des mets succulents et permet de formater le palais à des saveurs différentes.

Ils savent qu’ils ont leur plat préféré mais aussi que c’est amusant d’essayer d’autres mets.

Mes enfants, même toutes petites adoraient aller au restaurant goûter des « choses » nouvelles, elles hurlaient si je puis dire quand dans un repas familiale ou organisé par des amis, il y avait le repas dit des enfants, le plus souvent nouilles, jambon et gruyère et celui des adultes aux mets appétissants. Elles s’arrangeaient pour venir vers nous avec leur assiette.

 

-         La règle « tu goûtes » devrait s’imposer

L’enfant sait qu’il n’a pas à finir son assiette et qu’il faut parfois un peu de temps pour apprécier d’autres aliments. Il apprend aussi à découvrir que certains aliments ont des saveurs différentes selon leur mode de préparation, leur accompagnement et aussi selon son propre état d’esprit et d’humeur du moment.

Si la 1ère fois il n’apprécie pas, représentez l’aliment préparé différemment mais quelques jours voir quelques semaines plus tard.

Mangez ne devrait pas être une foire d’empoigne, c’est aussi un moment détente, de découverte.

 

-         Introduire l’idée que le héros préféré de votre enfant que ce soit superman, ou superwoman ou l’athlète ou la célébrité doit se nourrir de super aliment pour être aussi super fort et si célèbre !

Attention de ne pas le voir en pub mangeant ce que vous interdisez à votre enfant ! Eh oui ! La crédibilité parentale risquerait d’en prendre un coup !

 

-         Ne lui dites pas qu’il aura droit à son  dessert s’il finit son assiette

Cela lui apprend à détester les légumes qui deviennent la punition et le dessert la récompense. Invitez-le à manger un peu de son repas principal. Un repas santé c’est l’ensemble du repas pris dans la détente, pas dans le stress.

Si l’enfant qui normalement mange un peu de tout ne réclame que son dessert et délaisse le reste n’en faites pas un drame si cela arrive rarement. Maintenant si cela revient quasi constamment, essayez de découvrir ce qui se trame derrière ce changement d’attitude. Un repas bien pensé n’invite pas à un dessert.

Dans beaucoup de famille, le dessert n’est pas une fin en soi d’un repas, il y en a que certains jours de la semaine ou selon les circonstances. Dans ce cas, il n’y a pas de risque à ce que votre enfant fasse une fixation dessus.

 

-         La présentation de vos plats à de l’importance.

Si vos enfants ont été habitués dès le plus jeune âge à manger de tout, vous n’aurez aucun problème, mais si vous introduisez des changements quand ils ont déjà 5 ou 6 ans, ou plus, alors il vous faudra peut-être être malin et inventif mais sans en faire une affaire d’état, non plus.

Je rappelle que c’est nous les adultes et si nos enfants grâce à leurs antennes invisibles sentent que nous sommes  confiants, ce serait d’autant plus aisé.

Plus on a créé dans l’enfance des émotions positives vis-à-vis de l’alimentation, plus à l’âge adulte on continuera à vouloir les retrouver.

 

 

Selon des études, les enfants mangeront plus facilement des légumes et des fruits quand les parents savent les présenter.

  • Donnez des formes
  • Dans un plat qui leur rappelle un de leur héros ou un personnage de dessins animés préférés
  • L’accompagnement de vos légumes sont d’importance, présentez vos légumes avec des petites sauces délicieuses. Dans les livres de cuisine vous avez des tas d’idées, rien qu’en voyant la photo vous avez envie d’y goûter, inspirez-vous. Sur internet ce ne sont pas les propositions qui manquent. Au début c’est un peu fastidieux mais quand on voit la mine réjouie des enfants c’est dopant ! et ensuite les idées viennent toutes seules.
  • Ils n’aiment toujours pas les carottes en salade ! Ok que cela ne tienne ! Il adore les smoothies : un jus de carotte maison, plus une ½ banane ou de la pomme, ou autre fruit de saison, du lait végétal… quand il rentre de l’école et qu’il a faim, vous devinez, cela descend tout seul.
  • Faire des jus de légumes maison est une bonne option. Il faut commencer en douceur et que cela soit doux et agréable autant en bouche qu’à la vue. Si c’est d’un vilain vert foncé… vous oubliez ! Si cela a un drôle de goût…. vous oubliez ! Peu importe que vous, vous  trouviez délicieux ou « bon pour la santé » !
  •  Les purées ou les soufflets de légumes sont aussi de bonnes options

 

-         Impliquez vos enfants  

Les enfants aiment ce qu’ils préparent eux-mêmes, ce qu’ils cultivent ou ramassent dans la nature.

Une de mes nièces n’aimait pas les tellines, ce n’est pas important en soi, me direz-vous ! Mais l’histoire est intéressante. Nous sommes partis à la mer, les enfants ont commencé à ramasser des tellines que nous avons rapportées à la maison, nous les avons préparées tous ensemble et devinez ?  Elle a trouvé cela délicieux. Depuis elle en mange ! Elle n’aimait pas les courgettes ! Ok. Un jour mon mari prépara son fameux soufflé de courgettes, c’est vrai qu’il avait de la « présence », en plus cela sentait bon… et puis cela ne ressemblait pas du tout à des courgettes. Vous avez deviné, elle a goûté, et depuis elle en mange régulièrement ainsi que les courgettes tout simplement !

Les champignons ! Ah les vilains ! Ce jeune homme que je connais les détestait, il vint avec nous en ramasser en forêt, il prit plaisir à en trouver, il ne les a pas nettoyés la première fois, mais il a regardé ainsi que la préparation et devinez, il les a appréciés et aujourd’hui il va en forêt ramasser des champignons pour les manger, bien sûr !

 

Préparez ensemble vos propres nuggets avec de bons ingrédients et expliquez en même temps les raisons des ingrédients choisis, ce que cela implique pour les animaux, l’environnement, etc., faites en aussi un moment de complicité.

 

Si cette reconversion alimentaire intervient alors qu’ils sont déjà grands, sachez qu’ils sont malins et intelligents, qu’ils entendent aussi ce qui se dit sur la nutrition santé, ils aiment se sentir responsables à condition de leur donner les informations et les outils  pour choisir une fois correctement informés.  Si l’ambiance familiale n’est pas conflictuelle tout devient plus simple.

 

Les discussions avec nos enfants sur la santé, la puissance des végétaux dans notre alimentation, la condition animale, l’environnement et la justice les motivent encore plus que leur propre santé.

A l’école, dès le plus jeune âge on leur parle de l’écologie, de l’environnement, de la planète, de la compassion, de la justice sociale, donc liez vos choix alimentaires à ces discours, on ne peut pas leur donner du poulet élevé en batterie, des aliments bourrés de pesticides et leur parler du respect des animaux, de la pollution et des maladies liées à tout cela. Il faut être cohérent et ainsi on devient crédible.

  •   Selon leur âge, regardez ensemble des documentaires et discutez-en.

 

-         Quand vous mangez à l’extérieur, choisissez les meilleures options

Vous éduquez vos enfants à devenir des adultes capables de choisir par eux-mêmes. Faites leur confiance. Ils sauront choisir les options les plus saines auxquelles ils sont habitués. Leur apprendre à faire des choix santé c’est leur donner des compétences qui les serviront toute leur vie.

 

-         Soyez attentifs aux menus pour enfants.

Les menus pour les enfants ne sont pas toujours sains. C’est vrai ils sont moins chers. Plutôt que des frites demandez un autre légume d’accompagnement et au lieu d’un soda, de l’eau ou un jus à 100% de fruits. Dès qu’il mange des quantités normales oubliez le menu enfant.

 

-         Lire des livres pour enfant sur le thème d’une alimentation saine, le jardin, etc.,

Cela leur ouvre tout un monde et les conforte. Les encourager à lire toutes sortes de sujet est essentiel pour tous les enfants.

 

-         Soyez patient

Cela prend du temps pour construire de nouvelles habitudes.

Il faut compter 8 à 15 essais pour développer une affinité avec un nouvel aliment. Si vous passez des nuggets industrielles, des frites au brocoli et au tofu, cela va prendre du temps. Votre inventivité sera sollicitée.

BRIAN WANSINK, un chercheur et un expert du comportement alimentaire à l’Université de Cornell aux Etats Unis, a trouvé que pour les enfants, la présentation et nos attitudes sont très importantes. Si vos enfants ne mangent pas quelques fois  parce qu’ils n’ont pas leur malbouffe préférée ne paniquez pas. Quand ils auront vraiment faim, ils mangeront leurs nouveaux aliments d’autant plus s’ils seront bien préparés et présentés.

 

Ce ne sont que quelques propositions, peut-être avez-vous d’autres astuces ?

 

Quand nous apprenons à nos enfants à manger des légumes et des aliments sains au lieu d’aliments transformés industriellement bourrés de tout sauf d’éléments suffisamment nutritifs, nous les nous aidons à construire une vie plus saine tant pour le corps que l’esprit et nous participons aussi à rendre notre planète plus propre, sans oublier que nous préparons une nouvelle génération à vivre plus en conscience et avec plus de compassion.

 

SOURCES :

-          http://health.usnews.com/health-news/blogs/eat-run/2015/01/28/plant-based-diets-a-prescription-for-optimal-health

-          https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/22796947 : Serving styles of raw snack vegetables. What do children want?